Tome 1 - Elora 
Après la disparition de ses parents, Elora est élevée par sa mère adoptive, la baronne Hélène de Sassenage. Dix ans se sont écoulés. Elora grandit aux côtés de Mayeul, un enfant rejeté par sa mère biologique.
Un jour qu'ils se promènent dans la forêt, la découverte d'un cadavre met fin à leurs innoncences.
Une lettre remise à Hélène conduit celle-ci à se rendre à Rome où est retenu son cher bien-aimé. Elle devra y affronter un pape fourbe et pervers. Mais Elora l'accompagne et veille sur les personnes qui lui sont chers. Le temps est venu pour elle d' accomplir sa destinée. Elle sait que le sang des fées coule dans ses veines, elle sait qu'un jour sa mère sera délivrée de son triste sort. Mais elle sait qu'il lui faudra beaucoup de force pour repousser la part d'ombre qui se cache dans sa lumière.
Mon avis
C'était étrange de retrouver la bande d'Algonde dix années plus tard. Enfin, dans ce livre c'est Elora qui mène la danse et qui s'entoure de compagnons. Elle n'a que dix ans et pourtant l'auteur lui autorise à faire certaines choses qui me semblent déplacés. Et même si son esprit est plus âgé que son corps, j'ai été choqué par une certaine scène avec le Pape. Il y a toujours une grande place à la débauche, la cruauté et à la luxure. Je me doute bien que c'était le cas à l'époque mais ça me gêne de voir à quel point l'auteur y excelle en matière de description.
Autant je me sens proche d'Algonde, autant Elora me laisse de marbre. Il y a quelque chose chez elle qui m'empêche de m'attacher. Peut-être que cela changera après. J'ai été ravie de retrouver Enguerrand (son personnage me plaisait déjà dans le chant des sorcières). L'histoire entre Djem et Hélène est vraiment touchante. Je ne peux pas en dire autant de Mathieu et d'Algonde...
Je ne saurais dire si j'ai aimé cette suite. Quelque chose manquait. Peut-être le trouverais-je dans le tome 2.
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